Le parcours, des grands programmes publics aux dispositifs muséographiques, nous a conduit à développer des projets personnels questionnant la société dans son rapport au présent. Ses recherches donnent lieu à des propositions originales qui véhiculent à la fois un nouveau rapport à l’espace et à la condition urbaine du “vivre ensemble“. Loin de l’anecdote, les projets sont comme des invitations à un échange, dans des endroits spécifiques toujours porteurs de sens. Chacune des scénographies envisagées s’écrit ainsi comme une médiation possible entre l’institution et l’usager, entre la communauté et l’individu proposant une ou des actions ponctuelles à la découverte d’un territoire commun.

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Paysage du futur se construit au cours du temps, un projet après l'autre . En quête de pertinence, la réalisation prend des formes variées et fait appel à l’occasion aux compétences de graphiste, musicien, éclairagiste, écrivain, artiste vidéo, ingénieur du son, ingénieur web, etc.

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L’institution que vous représentez recevra peut-être un jour pour ces usagers le message suivant :

          

" Paysage du futur se propose de réaliser des expériences vivantes tendant à une compréhension nouvelle, sensible et poétique de la réalité. Loin des certitudes et des habitudes, elle se constitue autour de l’expérimentation partagée imaginant des synergies naturelles et sans péril à l’attention d’un public élargi..."

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Diplômé de l’école d’architecture Paris-Villemin (1991), Dominique Rouhier commence son parcours professionnel comme chef de projet pour les agences Fabre-Perrottet, Cattani, Intégral Philippe Delis, et devient architecte libéral en 2000.
Il travaille à Paris et suit les projets dont il a la charge à Madrid, Lisbonne, Bruxelles, Berlin, Hanovre pour des constructions de théâtre, complexe cinématographique ou des conceptions d’exposition. De retour d’un séjour en Asie, fasciné par l’inscription des Laos sur leur territoire et reconsidérant les freins des villes complexes européennes, il décide de s’adresser aux Institutions pour proposer des actes scènographiques transversaux dans une quête de réappropriation du quotidien.